Ton soleil dans mes veines – Italie, Tunisie, France… une odyssée méditerranéenne
Catalogue , Nouveautés , Témoignage / 11 novembre 2024

par David Bonfy Prix : 21 euros Un plat de spaghetti, une chanson entonnée entre amis, une partie de cartes endiablée… et des grands-parents qui sont un véritable phare pour leur petit-fils. Siciliens, ils sont nés en Tunisie, dans le port de La Goulette, qu’ils ont quitté suite à la fin du protectorat français proclamé en 1956. Près de 70 ans après cet événement, qu’en reste-t-il ? David Bonfy-Cannamela, journaliste dans le Pas-de-Calais, au Touquet, est né et a grandi dans une de ces familles d’origine sicilienne, où l’amour des grands-parents tient une place capitale. A travers « Ton soleil dans mes veines », c’est son héritage, mais aussi celui de millions de petits-enfants et arrière-petits-enfants de rapatriés d’Afrique du Nord qui est évoqué. David Bonfy-Cannamela, né dans le Var, est « monté » au Touquet à 25 ans. Autodidacte, il est journaliste. Passionné de Méditerranée en général, il se lance dans l’écriture avec « Ton soleil dans mes veines » qui rend hommage à ses grands-parents et à tous les Siciliens de Tunisie. [La presse en parle] Présentation du livre « Ton soleil dans mes veines » dans l’émission Italoscopie de Top Italia Berck : « Ton soleil dans mes veines…

D’un cousin l’autre
Témoignage / 8 janvier 2019

par Antoine D’Ormesson Prix : 20 euros Dans la famille D’Ormesson, bon sang ne saurait mentir. Quel que soit le siècle ou le régime politique, on fait partie de l’élite et l’on a de l’influence. Amis de la culture et des arts, fins diplomates, écrivains, compositeurs, hommes politiques, hauts fonctionnaires… les d’Ormesson brillent dans toutes leurs activités et leur talent n’a d’égal que leur élégance et leur distinction. Parmi eux, un homme a compté plus que tous les autres. Il s’agit d’un journaliste du Figaro, écrivain, membre de l’Académie française… Vous croyez l’avoir reconnu ? Ne vous fiez pas aux apparences : il s’agit en réalité de Wladimir d’Ormesson, figure tutélaire de la famille au XXe siècle, qui ajouta à sa réussite d’écrivain celles de diplomate et d’homme de confiance du général de Gaulle qui lui confia notamment les destinées de l’ORTF. Le fils de Wladimir, Antoine, a été élevé avec son cousin Jean au château d’Ormesson. Ils ont le même âge, à six mois près, partagent la même gouvernante et les mêmes jeux, se racontent leurs rêves… Jean accomplira la carrière littéraire que l’on sait, non sans un coup de pouce bienveillant de Wladimir, tandis qu’Antoine brillera particulièrement comme…

Ma vie – Un amour sous l’occupation
Marcel Conche , Témoignage / 7 janvier 2019

par Marcel Conche Prix : 17 euros Marcel Conche était élève-maître en première au lycée de Tulle lorsqu’il eut comme professeur une jeune agrégée des lettres classiques venue de Strasbourg, réfugiée à Tulle. Il lui demanda d’être sa « correspondante » en ville (condition pour avoir droit à la sortie du dimanche). Ainsi pouvait-il la rencontrer régulièrement. On les vit bientôt se promener la main dans la main dans les pentes de Tulle. Les vacances étaient l’occasion d’échanger de longues lettres. Presque toutes celles de Marie-Thérèse sont ici reproduites. Elles disent son amour inconditionnel, son souhait d’être épouse et mère, son immense bonheur lorsque ces choses-là sont arrivées. Presque aucune lettre de Marcel n’est ici reproduite. Elles disent une ardeur d’un autre ordre que l’amour humain, car, s’il s’agit d’amour, c’est d’un amour inconditionnel pour la philosophie. On a voulu qu’une figure de femme fasse l’unité de ce livre : on y voit sa vraie vie, qui commence par l’amour (1942), qui se continue par l’engagement auprès de l’époux, qui s’accomplit par le don de la vie (1947) – cela sans qu’il y ait de relâche dans le bonheur d’aimer, mais non sans tribulations (y aurait-il quelque risque à aimer…

Manuel de reconstruction à l’usage des personnes victimes d’AVC
Témoignage / 8 décembre 2018

Par Brigitte Proust  Telle une rupture brutale de l’espace-temps dans l’Univers, la vie peut parfois basculer soudainement lorsqu’un accident vasculaire cérébral se produit. Une vie active, bien remplie parles activités professionnelles, familiales et artistiques prend une voie nouvelle, peuplée d’hôpitaux, de centres de rééducation et de consultations. Les enseignements scientifiques,les conférences publiques, les concerts vocaux sont stoppés par un mutisme qui se décline en ataxie, aphasie, apraxie,et paralysie. Deux voies s’ouvrent : soit se mettre au diapason de ses affections et vivre en symbiose avec ses handicaps, soit tenter de domestiquer ceux-ci dans une longue résilience, et un long combat contre la maladie. Ce livre souligne comment,plus de trois ans après ses deux AVC, l’auteure parvient à revivre une existence la plus normale possible, bien que le fauteuil roulant ne soit jamais très loin, et à reprendre une vie scientifique et des conférences publiques grâce à des supports adaptés. Puisse ce témoignage être un soutien optimiste pour ceux qui sont atteints des mêmes difficultés.